°Souffrance et confusion

English below. L'aveuglement engendre la confusion et la confusion, le wokisme, le progressisme, l'islamisme militant. Ne dit-on pas que l'enfer est pavé de bonnes intentions ? Voilà ce qui forme les vagues, la tempête du monde, dont l'Observance nous abrite.

L'Observance de l'agya et la Grâce vous sauvent de l'illusion et de la confusion

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

Pour les ouvrir, faites un clic droit dessus et choisissez :

« ouvrir le lien dans un nouvel onglet »

English below

L'accueil du blog

Souffrance et confusion

1. J'ai ici le « Dhammapada », le recueil des paroles du buddha Gautama Siddhartha, je précise, parce que des éveillés (buddha), il n'y en a pas eu qu'un. Quand on entre, dans la fenêtre du moteur de recherche du PDF de cet ouvrage le mot : « refuge », il y a dix-huit mentions. Un autre mot est présent dans ce livre, qui veut dire la même chose : « abri », donnant encore d'autres résultats.

Le refuge

2. Dans la phrase 188-189, il est dit : « Les hommes frappés de peur vont en maints refuges, dans les collines, les bois, les jardins, les arbres et les temples. Mais de tels refuges ne sont pas sûrs, ni suprêmes. Avec eux, on n’est pas à l'abri de la souffrance. »

3. Dans sa phrase 25, Gautama dit : « Par la constance, la vigilance, la discipline et le contrôle de soi, que le vigilant (Observant) fasse pour lui-même une île, un refuge qu’aucun flot ne pourra submerger. »

4. Phrase 87, le buddha dit encore : « Le sage abandonnera les voies obscures de l’existence, allant sur la voie lumineuse (dharma, agya). Il doit chercher la béatitude dans le refuge si difficile à trouver. »

Le navire du Saint-Nom

5. Dans Aarti (hymne dévotionnel), il est dit que : « Dans la rivière de l'illusion, tous sont entraînés vers la mer, tous coulent dans les profondeurs de la mer. Le navire du salut est le Saint-Nom, en une seconde, il nous libère. »

6. Sans parler du cycle des incarnations, qui reste un sujet conceptuel, pour nous, la mer est l'existence que nous vivons, avec les profondeurs de l'illusion, de l'aveuglement, de la confusion et de la souffrance (dukkha).

7. Ce couplet de l'hymne nous dit que le Saint-Nom empêche que l'on se noie dans l'existence, son illusion, sa confusion, la souffrance.

Aveuglement

8. Il est question d'aveuglement. La cécité, c'est le fait de ne pas voir, l'aveuglement celui de ne pas accepter la réalité et de ne se fier qu'à ses concepts, ses pensées contre l'évidence. La vanité, le faux-ego est la principale source d'aveuglement.

9. L'aveugle croit tout savoir, mais, en vérité il ne sait pas où il va. Il ne voit pas les pièges sur son chemin. Chez l'Homme, l'aveuglement engendre de la peur, une tension intérieure constante. Il ne sait pas l'origine de cette tension constante, aveugle qu'il est, alors il l'attribue, se trompant, à toutes sortes de causes.

10. Cela ajoute à la souffrance de fond (dukkha) dû à l'impermanence, à la certitude de la mort et à l'ignorance (nescience, pour le yogasûtra). Cette ignorance est l'absence de la connaissance, ou « Veda* », en sanskrit. * Qu'il ne faut pas confondre avec le nom du recueil d'écritures.

L'Observance

11. Ce navire du Saint-Nom, dont parle l'hymne Aarti, c'est notre Observance de l'agya. C'est ce que dit la phrase 90-191-192 du Dhammapada : « Celui qui cherche refuge dans l'enseignement de l'éveillé et la communauté des moines, avec une parfaite connaissance, perçoit les quatre vérités, à savoir : la souffrance, l’origine de la souffrance, l’anéantissement de la souffrance et la voie qui conduit à son anéantissement. Voilà le refuge sûr ; le refuge suprême qui libère de la souffrance. »

12. Nous sommes à l'abri sur le navire du Saint-Nom, dans son Observance, et nous hissons les voiles de l'agya. Le vent qui souffle dans ces voiles, qui fait avancer le navire vers sa destination, c'est la Grâce.

13. Nous connaissons cette destination, c'est le point de départ vers lequel nous revenons, notre origine, mais nous ne nous en souvenons pas. « De toutes choses, ici et ailleurs, visibles et invisibles, passées, présentes et à venir, l'Un est l'origine et la fin. » (Bhaktimàrga, 9)

14. Pourtant, quand nous avons une « remontée » de conscience, nous reconnaissons le feeling du Saint-Nom. Notre « soi » fondamental, l'esprit, ou « âme incarnée », identifie ce feeling à quelque chose dont elle a le souvenir : satçitananda*, ou « le Royaume », comme Jésus disait**.

* Parfaite conscience de la béatitude. ** Évangile selon Thomas, logion 3.

15. L'aveuglement engendre la confusion et la confusion, le wokisme, le progressisme, l'islamisme militant. Ne dit-on pas que l'enfer est pavé de bonnes intentions ? Voilà ce qui forme les vagues, la tempête du monde, dont l'Observance nous abrite.

16. Sans l'Observance, notre existence est chahutée par le moindre mouvement des vagues de la confusion et la souffrance s'installe. L'initié qui oublie l'Observance, qui la néglige sait, lui, pourquoi il souffre. Celui qui ne connaît pas La Voie, souffre sans savoir pourquoi, alors il consulte un médecin et prend des anxiolytiques qui ajoutent à sa confusion.

17. Observants, vous êtes sur le bon bateau et la Grâce le pousse vers sa destination, la demeure du Père. Hissez les voiles de l'Observance et profitez du voyage. Vous, le chercheur de vérité, cessez de chercher ; vous avez trouvé et demandez à recevoir la Révélation.

Les boutons de partage sont à la suite de la traduction. Si ce texte vous a apporté quelque chose, partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein « bénéfice » de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com

Suffering And Confusion

1. I have here the "Dhammapada", the collection of sayings of the buddha Gautama Siddhartha, to be precise, because there hasn't been just one awakened (buddha). When you enter the word "refuge" in the PDF search engine window of this book, there are eighteen mentions. There's another word that means the same thing: "shelter", which yields even more results.

The Refuge

2. In sentence 188-189, it says: "Fear-stricken men go to many refuges, in hills, woods, gardens, trees and temples. But such refuges are not safe, nor supreme. With them, one is not safe from suffering."

3. In sentence 25, Gautama says: "Through constancy, vigilance, discipline and self-control, let the vigilant (Observant) make for himself an island, a refuge that no flood can submerge."

4. In sentence 87, the Buddha goes on to say: "The wise will abandon the obscure ways of existence, going forth on the luminous path (dharma, agya). He must seek bliss in the refuge so difficult to find."

The Holy-Name Ship

5. In Aarti (devotional hymn), it is said that: "In the river of illusion, all are dragged to the sea, all sink into the depths of the sea. The vessel of salvation is the Holy-Name, in a second it sets us free."

6. Leaving aside the cycle of incarnations, which remains a rather conceptual subject, for us, the sea is the existence we live in, with its depths of illusion, mindblindness, confusion and suffering (dukkha).

7. This verse of the hymn tells us that the Holy-Name prevents us from drowning in existence, its illusion, confusion and suffering.

Mindblindness

8. It's about mindblindness. Blindness is the inability to see, and mindblindness is the inability to accept reality, relying solely on one's own concepts and thoughts against the evidence. Vanity, the false ego, is the main source of mindblindness.

9. The blind man thinks he knows everything, but in truth he doesn't know where he's going. He doesn't see the traps in his path. In man, mindblindness generates fear and constant inner tension. He doesn't know the origin of this constant tension, blind as he is, so he attributes it, mistakenly, to all sorts of causes.

10. This adds to the basic suffering (dukkha) caused by impermanence, the certainty of death and ignorance (nescience, in yogasutra). This ignorance is the absence of knowledge, or "Veda*", in Sanskrit. * Not to be confused with the name of the scripture collection.

Observance

11. This vessel of the Holy-Name, referred to in the Aarti hymn, is our observance of agya. Sentence 90-191-192 of the Dhammapada states: "He who seeks refuge in the teaching of the awakened and the community of monks, with perfect knowledge, perceives the four truths, namely: suffering, the origin of suffering, the annihilation of suffering and the path that leads to its annihilation. This is the safe refuge; the supreme refuge that liberates from suffering."

12. We are sheltered on the ship of the Holy-Name, in its Observance, and we hoist the sails of agya. The wind that blows through these sails, that moves the ship towards its destination, is Grace.

13. We know this destination, it's the starting point to which we return, our origin, but we don't remember it. "Of all things, here and elsewhere, visible and invisible, past, present and future, the One is the origin and the end." (Bhaktimàrga, 9)

14. Yet when we have an "upwelling" of consciousness, we recognize the feeling of the Holy- Name. Our fundamental "self", the spirit, or "incarnate soul", identifies this feeling with something it remembers: satçitananda*, or "the Kingdom", as Jesus used to say**.

*Perfect consciouness of bliss. ** Gospel according to Thomas, logion 3.

15. Mindblindness breeds confusion, and confusion breeds wokism, progressivism and militant Islamism. Isn't it said that the road to hell is paved with good intentions? This is what forms the waves, the storm of the world, from which the Observance shelters us.

16. Without Observance, our existence is buffeted by the slightest movement of the waves of confusion, and suffering sets in. The initiate who forgets the Observance, who neglects it, knows why he suffers. Those who don't know The Path suffer without knowing why, so they consult a doctor and take anxiolytics that add to their confusion.

17. Observant people, you are on the right boat and Grace is pushing it towards its destination, the Father's home. Hoist the sails of Observance and enjoy the voyage. You, the seeker of truth, stop searching; you have found and ask to receive Revelation.

If you liked this text, don’t forget to share on the networks

This satsang may help you in your spiritual research, I hope, but I must say this: it was said at the house where I live, recorded and then transcribed for the initiates who received the Revelation. The full 'benefit' of this satsang can only be achieved if you have had this Revelation and practice the four pillars. For more information, contact lavoie.eu@gmail.com