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English below. C'est comme les livres sacrés indiens ou autres ; la Bhagavad-Gîtâ, les Upanishads, les Védas, le Yogasûtra, le guru-granth-sahib, Le Tao-Te-King, l'évangile : ces livres ne vous apprennent rien !

Satsang de sri hans Yoganand ji sur la spiritualité, La Voie, les livres saints, la méditation.
Aucun livre saint n'explique comment méditer, il faut un maître vivant pour vous le montrer

 

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

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English below

 

L'accueil du blog

 

 

 

 

 

On peut dire toutes sortes de choses à propos de la spiritualité, comme la signification, l'origine du mot « avatar », pourquoi la « Trimurti » existe, qu'est-ce que le pràna, en vérité, que signifie « Upanishad » et toutes ces sortes de choses et en faire des vidéos bien montées, pour éditer sur Youtube, mais ce serait pour les non-pratiquants de La Voie.

 

Les observants, ceux qui ont demandé à recevoir la Révélation des techniques de méditation et qui les ont reçues, ont besoin de satsang. Le satsang fait partie de la sadhana, l'agya de La Voie. De toute façon, le satsang est improvisé sur le moment. Faire des vidéos intéressantes, pour tout le monde, demanderait d'écrire un texte en y réfléchissant, en faisant des recherches bibliographiques, des références, de faire un story-board et de filmer plan par plan, avant de monter les rushs.

 

 

Le satsang

 

 

La plupart des observants n'ont pas Internet, en Afrique, en Inde, par exemple, et ils ont satsang autrement, par recueils papier distribués par ceux qui ont la possibilité de recevoir un mail ou, de temps en temps, en direct, par Skype, chez ceux, rares, qui peuvent avoir une connexion internet.

 

Le satsang n'est pas intéressant pour beaucoup des non-initiés, même s'ils peuvent les lire. Seulement ceux qui observent l'agya, ceux qui pratiquent la méditation, avec ses quatre techniques particulières et qui cherchent à rester dans le service, tout au long de chaque jour, peuvent comprendre, au moins un peu, ce qui est dit dans le satsang.

 

 

La compréhension

 

 

Enfant, je lisais et relisais les bandes dessinées d'Astérix. Au fur et à mesure que je grandissais, je comprenais plus de choses, de jeux de mots, de calembours et autres références historiques et je riais de plus belle !

 

Le satsang, c'est comme Astérix : plus vous avez de l'expérience, dans l'Observance de l'agya et plus vous comprenez de choses dans le satsang. Parfois, vous relisez un vieux satsang et vous comprenez des choses qu'à la première lecture, vous n'aviez pas distingué.

 

Ce que vous comprenez du satsang, vous l'avez déjà réalisé, mais vous n'en avez pas conscience et les mots du satsang remontent à la surface de votre mental, ce que l'âme a réalisé. Le satsang est un révélateur de compréhension. Le satsang n'est pas un propos didactique.

 

La Bhagavad-Gîtâ, les Upanishads, les Védas, le Yogasûtra, le guru-granth-sahib, Le Tao-Te-King, l'évangile ne vous apprennent rien ! Si vous prenez, par exemple, le yogasûtra, de « Patanjali », il n'apprend pas à méditer. Ce livre, comme les autres, est très mal traduit. Si vous téléchargez dix PDF différents, du Yogasûtra, vous aurez dix versions différentes.

 

Un mot sanskrit peut avoir cinquante acceptions, en fonction de l'époque, où il a été utilisé, du contexte, de l'école de pensée, etc. Mais quelle que soit la version, dans le yogasûtra vous ne verrez aucune technique de méditation. Les livres "sacrés" ne veulent pas vous apprendre les techniques de méditation, ils ont vocation à inspirer.

 

 

La Révélation

 

 

C'est étrange, car ce livre est à l'origine de plusieurs mystiques, comme le Raja-yoga, l'Ashtanga-yoga, par exemple. Les techniques de méditation étaient révélées, comme elles le sont encore de nos jours, de maître à disciple, oralement. C'est ça la « Révélation » que je vous propose de me demander. Si vous prenez la Bhagavad-Gîtâ, par exemple, ou « Le chant de l'éveillé », vous y lirez toutes sortes de conseils, d'aphorismes, mais aucune technique de méditation. On peut dire la même chose du Tao-Te-King.

 

Pour ce qui est de l'évangile, il ne donne pas le « baptême dans l'Esprit-saint et dans le feu » que Jésus administrait aux très rares personnes qui le lui ont demandé de son vivant en Israël. Ils ont été un petit nombre de personnes à recevoir cette initiation de Jésus. Tous ses apôtres n'étaient pas de ses disciples et Paul ne l'a même pas connu !

 

Pour ce qui est de Jean, il y en a eu tellement de différents, dans les évangiles, que l'on ne sait même pas lequel était son disciple. Pour l'évangile de Jean, ce ne serait pas le disciple de Jésus (Jean, fils de Zébédée) qui l'aurait rédigé, mais une communauté Johannique, à la fin du premier siècle. Pour l'apocalypse, l'auteur serait encore un autre Jean. Il aurait aussi été rédigé à la fin du premier siècle, sur l'île de Patmos, en Grèce.

 

La Voie a le Bhaktimàrga qui ne donne pas non plus les techniques de méditation. Les livres saints ont été rédigés pour des disciples. Si vous prenez les « Suttas », qui sont censés donner à lire les paroles du bouddha, ils sont des compilations des satsang que sri Gautama a donné à ses disciples.

 

Tous les suttas commencent de la même manière et on y lit bien que le bouddha (Gautama) s'adressait à ses disciples ou élèves. Certaines traductions disent « amis ». Le satsang ne parle jamais des techniques de méditation, mais est destiné à inspirer le disciple à pratiquer avec ferveur. Parfois, un chercheur (de vérité), rencontre le satsang et ça l'inspire à demander la Révélation. Mais c'est un pas difficile à franchir et pourtant, c'est si simple !

 

Le satsang donne et redonne de l'élan à la pratique et inspire le chercheur à demander la Révélation. Il n'apprend rien à personne. La connaissance vient de la méditation et du service. C'est la pratique qui apprend. La Voie est avant tout une pratique.

 

Les boutons de partage sont à la suite de la traduction. Si ce texte vous a apporté quelque chose, partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

 

 

 

 

 

Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein ''bénéfice'' de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com

 

 

Satsang and holy books

 

 

You can say all kinds of things about spirituality, like the meaning, the origin of the word “avatar”, why “Trimurti” exists, what does pràna really mean, what does “Upanishad” mean, and all those kinds of things, and make it into well-edited videos, to publish on Youtube, but that would be for the nonfollowers of The Path.


The adepts, those who have asked for and received the Revelation of meditation techniques, need satsang. Satsang is part of sadhana, the agya of The Path. Anyway, satsang is improvised at the moment. Making interesting videos, for everyone, would require writing a text while thinking about it, doing bibliographic searches, references, doing a story-board and filming plan by plan, before mounting the rushes.

 

 

The satsang

 

 

Most observers do not have the Internet, in Africa, in India, for example, and they have satsang otherwise, by paper collections distributed by those who have the possibility of receiving an email or, from time to time, live, by Skype, at those, rare, which can have an internet connection.


Satsang is not interesting for many laypeople, even if they can read them. Only those who observe the agya, those who practice meditation, with its four particular techniques and who seek to remain in service, throughout each day, can understand, at least a little, what is said in the satsang.

 

 

Understanding

 

 

As a child, I read and reread Asterix comics. As I grew up, I understood more things, puns, puns and other historical references and laughed more!


Satsang is like Asterix: the more experience you have in the Observance of agya, the more you understand things in satsang. Sometimes you reread an old satsang and you understand things that at first reading you had not distinguished.


What you understand of satsang you have already realized, but you are not aware of it and the words of satsang rise to the surface of your mind, which the soul has realized. Satsang is a revelation of understanding. Satsang is not a didactic subject.


The Bhagavad-Gita, the Upanishads, the Vedas, the Yogasûtra, the guru-granth-sahib, the Dao-De-Jing, the gospel teach you nothing! If you take, for example, the yogasûtra from Patanjali, he doesn’t learn to meditate. This book, like the others, is very poorly translated. If you download ten different PDFs, Yogasûtra, you will have ten different versions.


A Sanskrit word can have fifty meanings, depending on the time, where it was used, the context, the school of thought, etc. But whatever the version, in the yogasûtra you will not see any meditation technique. The "sacred" books do not want to teach you the techniques of meditation, they have vocation to inspire.

 

 

The Revelation

 

 

This is strange, because this book is at the origin of several mystics, such as Raja-yoga, Ashtanga-yoga, for example. The techniques of meditation were revealed, as they still are today, from master to disciple, orally. This is the "Revelation" I propose to ask myself. If you take the Bhagavad-Gita, for example, you will read all kinds of advice, aphorisms, but no meditation technique. The same can be said of Dao-De-Jing.


As for the gospel, he does not give the “baptism in the Holy-Spirit and in the fire” that Jesus administered to the very few people who asked him to do so while he was alive in Israel. They were a small number of people to receive this initiation from Jesus. All his apostles were not his disciples and Paul did not even know him!


As for John, there were so many different ones in the Gospels that we don’t even know who his disciple was. For the gospel of John, it would not be the disciple of Jesus (John, son of Zebedee) who would have written it, but a Johannine community, at the end of the first century. For the apocalypse, the author would be yet another John. It would also have been written at the end of the first century, on the island of Patmos, in Greece.


The Path has the Bhaktimàrga which also does not give meditation techniques. Holy books have been written for disciples. If you take the «Suttas», which are supposed to give to read the words of the Buddha, they are compilations of the satsang that Sri Gautama gave to his disciples.


All the suttas start in the same way and we read that the Buddha (Gautama) was addressing his disciples or students (Bikkhus). Some translations say “friends”. Satsang never speaks of meditation techniques, but is meant to inspire the disciple to practice fervently. Sometimes a seeker (of truth) meets the satsang and it inspires him to ask for Revelation. But it is a difficult step to take and yet it is so simple!


Satsang gives and reinforces practice and inspires the seeker to ask for Revelation. It does not teach anyone anything. Knowledge comes from meditation and service. It is practice that learns. The Path is above all a practice.

 

 

 

 

 

This satsang may help you in your spiritual research, I hope, but I must say this: it was said at the house where I live, recorded and then transcribed for the initiates who received the Revelation. The full 'benefit' of this satsang can only be achieved if you have had this Revelation and practice the four pillars. For more information, contact lavoie.eu@gmail.com

 

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