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English below. Quand on vit chez ses parents, on n'est pas libre. Quand on est en pension, on n'est pas libre. Quand on est marié, ou en couple, on n'est pas libre. Quand on a des enfants, on n'est pas libre. Quand on est salarié, on n'est pas libre.

Satsang de sri hans Yoganand ji sur la liberté, la spiritualité, la voie, l'utopie et le bonheur
La liberté n'a jamais existé, en vérité. Elle est une illusion, un rêve inutile.

 

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

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English below

 

L'accueil du blog

 

 

1. Pour une spiritualité comme La Voie, telle qu'elle a été décrite dans les Yogasûtras, la Bhagavad-Gîtâ (Le chant de l'éveillé), les Upanishads et le Tao-Te-King, la France est une terre très difficile à cause d'un fantasme collectif. Ce fantasme, qui date, est la « liberté ».

 

2. Pourquoi dis-je que la liberté est un fantasme ? Parce qu'en vérité, jamais, dans l'humanité, il n'y eut de liberté. Il y a plus ou moins d'indépendance, d'autonomie, de liberté d'expression, encadrée par la loi (voir les lois mémorielles sur la Shoah, la jurisprudence sur les propos homophobes, racistes, islamophobes, etc), mais de liberté, il n'y en a pas et il n'y en a jamais eu.

 

On n'est jamais libre

 

3. Quand on vit chez ses parents, on n'est pas libre. Quand on est en pension, on n'est pas libre. Quand on est marié, ou en couple, on n'est pas libre. Quand on a des enfants, on n'est pas libre. Quand on est salarié, on n'est pas libre. Quand on roule en automobile, on n'est pas libre. Quand on est patron, on n'est pas libre, etc. Pourtant, on défile, cassant le mobilier urbain, les vitrines et les autos, en criant « liberté », « liberté ».

 

4. On refuse de donner des renseignements aux services publics, mais on ne rechigne pas à en donner aux réseaux sociaux sur le Net. Sommes-nous si attachés à la liberté, qui, je le redis n'existe pas, ou simplement, sommes-nous attachés au droit d'être contre le gouvernement, quel qu'il soit ? Je connais une personne qui a dit que le Français était un Gaulois réfractaire, ce qui a provoqué un tollé médiatique, mais après tout, est-ce si faux ?

 

5. Que les Français sont donc susceptibles et toujours prêts à s'indigner, sans toujours trop savoir pourquoi ! Les déconstructivistes, les végans, les écologistes, les féministes, les wokes, les animalistes sont en train de nous dresser des listes de raisons de s'indigner.

 

6. On veut être libre, pourtant on ne veut pas que les gens soient libres de chasser, d'assister à une corrida, de manger de la viande, de circuler en automobile, thermique ou électrique, d'être contre l'avortement, pour des raisons spirituelles et philosophiques, contre la PMA, etc. On veut être libre d'empêcher ceux qui pensent mal de s'exprimer. On veut même empêcher un homme blanc d'être contre le racisme, considérant que sa couleur de peau le disqualifie d'office.

 

7. C'est ainsi pour la spiritualité : on veut se la « tricoter » tout seul, faire comme un patchwork de différentes mystiques. On veut faire avec la spiritualité comme avec les voitures, de la personnalisation. On veut apprendre, mais sans maître… apprendre tout seul.

 

Spiritualismes

 

8. La France est une terre où la spiritualité meurt. L'ésotérisme prospère, la religion non, à part l'islam qui se porte bien. On parle de taux vibratoire, de chakras, d'aura, de numérologie, du pouvoir des pierres, de druidisme ou de chamanisme, mais de spiritualité, non. On confond tout. Le fait de faire tourner les guéridons, par exemple, n'a rien à voir avec la spiritualité.

 

9. Le fait de sortir de son corps, pour aller dans l'astral, n'est pas de la spiritualité non plus. Qu'est-ce qui me permet de dire ça ? Les traditions mystiques qui remontent à plus de six mille ans. On peut en lire des descriptions dans des livres que j'ai cités au début. Tous disent la même chose.

 

10. Quelqu'un m'a dit qu'il ne fallait pas croire tout ce qui était dans les livres, il avait raison, mais je pratique ces mystiques depuis 1975, j'ai donc, en la matière, de l'expérience et une capacité à faire le tri.

 

11. Les gens ne veulent pas être embrigadés, parce que c'est perdre sa liberté. Par contre, ils veulent bien être embrigadés par un club de supporters de football, par un parti politique, par des thèses complotistes, etc. Mais, encore une fois, la liberté n'existe pas et elle n'a jamais existé. On est libre quand on meurt et encore !

 

12. Si l'on n'a pas atteint la Libération (du samsara), on n'est pas libre. Réfléchissez-y, faites le point de vos obligations, de vos devoirs et vous verrez si vous êtes libre. La liberté est un rêve et les gens ne veulent pas se réveiller, ils ont peur de la réalité.

 

L’éveil

 

13. Avant, quand on parlait d'éveil, on parlait de la bodhi, l'état de conscience où arrive un buddha. Le mot buddha signifie « éveillé ». Tout le monde parle du Bouddha, comme si c'était le nom d'une personne (avec le « B » majuscule), Siddhartha Gautama, du clan des Sakyas et qu'il n'y en avait eu qu'un, mais des bouddhas, il y en a eu beaucoup ! Lao-Tseu était un bouddha, un éveillé, Patanjali aussi et guru Nanak, Jésus, etc.

 

14. Maintenant, quand on parle d'éveil, on parle wokisme, racisme, conscience sociale, lutte contre les discriminations, guerre contre le mâle blanc occidental, du droit des femmes d'être supérieures aux hommes, de genres. Maintenant, le top du top, c’est d'être une jeune femme noire, musulmane, végane et lesbienne. Une telle personne me plairait, si j'en rencontrais une, aucun des traits, qui la définissent, ne me chagrinerait.

 

15. L'important, chez une personne, c'est son âme et une âme n'a ni genre ni type ethnique. La spiritualité s'adresse aux âmes ! Comment voulez-vous parler de spiritualité avec quelque chance de succès ? Le fait que beaucoup de gens se préoccupent des couleurs de la peau et du genre dit bien à quel point ils sont loin de la spiritualité, de l'âme.

 

16. On n'a plus confiance dans ce qui existe déjà. On a tellement été trahis par tant de gens, sur tant de sujets, de plus, on confond la spiritualité et la religion. La religion demande de croire et d'adopter un dogme, sans réfléchir. La spiritualité vraie, ne demande pas de croire, ni d'apprendre quelque dogme que ce soit, mais de pratiquer.

 

17. La spiritualité a des livres saints ou sacrés. Ces livres ne peuvent pas apprendre les techniques qui permettent la pratique de la spiritualité. Ces livres incitent à la pratique, ils ont la volonté d'inspirer le chercheur et l'initié. Initié, le mot est lancé. Pour pratiquer la spiritualité, il est besoin d'avoir reçu une initiation. Cette initiation, vous pouvez la demander à l'adresse mail de La Voie, afin de prendre rendez-vous pour une réunion par vidéo, en ligne, qui dure plus ou moins deux heures. Cette initiation est gratuite.

 

Les boutons de partage sont à la suite de la traduction. Si ce texte vous a apporté quelque chose, partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

 

 

Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein « bénéfice » de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com

 

Fantasy of Freedom

 

1. For a spirituality like The Path, as described in the Yogasûtras, the Bhagavad-Gîtâ, the Upanishads and the Dao-De-Jing, France is a very difficult land because of a collective fantasy. This longstanding fantasy is “freedom”.


2. Why do I say that freedom is a fantasy? Because in truth, never, in humanity, was there freedom. There is more or less independence, autonomy, freedom of expression, framed by the law (see the Holocaust Memorial Laws (In France), jurisprudence on homophobic, racist, Islamophobic remarks, etc.), but freedom, there is none and never has been.

 

We’re Never Free

 

3. When you live with your parents, you are not free. When you are in boarding school, you are not free. When you are married or in a couple, you are not free. When you have children, you are not free. When you are employed, you are not free. When you drive a car, you are not free. When you are a boss, you are not free, etc. Yet, you march, breaking street furniture, windows and cars, shouting “freedom”, “freedom”.


4. We refuse to give information to public services, when we do not mind giving it to websites or social networks on the net. Are we so attached to freedom, which I repeat does not exist, or simply, are we attached to the right to be against the government, whatever it may be? I know one person who said the Frenchman was a Gaul who resisted and caused a media outcry because of it, but after all, is that so wrong?


5. That the French are therefore sensitive and always ready to indignate, without always knowing too much why! Deconstructivists, vegans, environmentalists, feminists, wokes, animalists are drawing up lists of reasons for indignation.


6. We want to be free, yet we don’t want people to be free to hunt, to attend a bullfight, to eat meat, to drive around in cars, thermal or electric, to be against abortion, for spiritual and philosophical reasons, against the LDC, etc. We want to be free to prevent those who think badly from expressing themselves. We even want to prevent a white man from being against racism, considering that his skin color automatically disqualifies him.


7. This is the way of spirituality: we want to "knit" it ourselves, to make as a patchwork of different mystics. We want to do with spirituality as with cars, personalization. We want to learn, but without a master... learn on our own.

 

Spiritualisms

 

8. France is a land where spirituality dies. Esotericism thrives, religion does not, except Islam which is doing well. We are talking about vibratory rates, chakras, aura, numerology, the power of stones, druidism or shamanism, but not spirituality. We confuse everything. Running the healings, for example, has nothing to do with spirituality.


9. Getting out of one’s body, to go into the astral, is not spirituality either. What gives me reason to say that? The mystical traditions go back more than six thousand years. There are descriptions of them in books I quoted at the beginning. They all say the same thing.


10. Someone told me not to believe everything in the books, he was right, but I have been practising these mystics since 1975, so I have experience and an ability to sort things out.


11. People don’t want to be involved, because that’s losing their freedom. On the other hand, they want to be involved by a football club, by a political party, by conspiracy theories, etc. But, once again, freedom does not exist and it never existed. You’re free when you die and again!


12. If one has not attained the Liberation (of samsara), one is not free. Think about it, take stock of your obligations, your duties and see if you are free. Freedom is a dream and people do not want to wake up, they are afraid of reality.

 

The Awakening

 

13. Before, when we talked about awakening, we were talking about bodhi, the state of consciousness in which a buddha arrives. The word buddha means “awake”. Everyone talks about the Buddha, as if it were the name of a person (with the capital “B”), Gautama Siddhartha, of the Sakya clan and there had been only one, but there were many buddhas! Lao-Tzu was a buddha, an awakened, Patanjali also and guru Nanak, Jesus, etc.


14. Now, when we speak of awakening, we speak of wokism, racism, social conscience, struggle against discrimination, war against the Western white male, bearer of original sin, of the right of women to be superior to men, of gender. Now, the best part is being a young black, Muslim, vegan and lesbian woman. Such a person would please me, if I met one, none of the traits, which define it, would upset me.


15. The important thing in a person is his soul and a soul has neither gender nor ethnic type. Spirituality is for souls! How do you want to talk about spirituality with any chance of success? The fact that many people are concerned about skin colors and gender speaks to how far they are from spirituality, from the soul.


16. We no longer trust what already exists. We’ve been so betrayed by so many people, on so many subjects, plus, we confuse spirituality and religion. Religion requires believing and adopting a dogma, without thinking. True spirituality does not ask to believe, nor to learn any dogma whatsoever, but to practice.


17. Spirituality has holy or sacred books. These books cannot learn the techniques that allow the practice of spirituality. These books encourage practice, they have the will to inspire the researcher and the initiate. Initiated, the word is launched. To practice spirituality, it is necessary to have received an initiation. This initiation, you can ask it at the email address of The Path, to make an appointment for a meeting by video, online, which lasts more or less two hours. This initiation is free.

 

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This satsang may help you in your spiritual research, I hope, but I must say this: it was said at the house where I live, recorded and then transcribed for the initiates who received the Revelation. The full 'benefit' of this satsang can only be achieved if you have had this Revelation and practice the four pillars. For more information, contact lavoie.eu@gmail.com

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