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La méditation, c'est comme de se brosser les dents ; il faut le faire tous les jours. Quand je vivais dans un ashram, nous méditions au moins deux fois par jour et au moins une heure à chaque fois. Revenu en France, je méditais dix heures par jour, tous les jours et je vois ce que ça me faisait.

Satsang de sri hans Yoganand à propos de la spiritualité, de la pratique et de la constance.
Ce qui compte le plus, en spiritualité, c'est de pratiquer tous les jours ! Même un peu

 

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

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L'accueil du blog

 

 

Nous, les Hommes, sommes capables de faire un nombre important de choses, je ne vais pas en dresser la liste exhaustive, ça ferait un peu prétentieux, surtout vis-à-vis des antispécistes animalistes et cela serait trop long.

 

On peut vraiment faire des tas de choses, comme se brosser les dents, se faire cuire à manger, laver ses chaussettes*, écrire, jouer de la musique, envoyer des gens sur la Lune… plein de choses, je vous dis ! Il y a quelque chose que l'on est incapable de faire par nous-même, c'est de reconnaître la vérité, quand elle vient à notre oreille, portée par le satsang.

 

* A-t-on déjà vu un animal laver des chaussettes ? Même le raton-laveur ne le fait pas !

 

Quand je dis vérité, je parle de la vérité-universelle, pas d'une de ces vérités que chacun se fabrique dans son coin. Quand elle vient à nous, par le satsang, par écrit, sur le blog, on est incapable de la reconnaître.

 

Si notre entendement n'est pas mûr, il n'y a rien à faire ; le satsang pourra être clair, simple, logique, vrai, on n'y sera pas sensible et l'on écoutera deux minutes avant de « raccrocher » et de se moquer.

 

L'âme doit mûrir

 

L'âme a besoin de mûrir pour être capable de reconnaître la vérité quand elle la croise. Surtout que nous, les êtres-humains, nous ne sommes pas faits uniquement de l'âme, la plupart du temps, nous croyons être le mental, notre personnalité, nos émotions, nos pensées, nos connaissances, nos souvenirs, notre utilité sociale, etc.

 

L'âme, l'esprit, nous l’appelons le « cœur » ou l'esprit et en réservons l'usage pour les choses douces, tendres, poétiques et amoureuses.

 

Nous pouvons être doués, avoir 180 de QI, ou plus, que ça n'y changera rien, ce n'est pas une question d'intelligence, juste de maturité. Quand l'âme est prête, elle reçoit le satsang comme vérité, sinon, il n'y a rien à faire et la personne qui donne le satsang, aura beau dire les choses les plus vraies, que ça tombera dans le vide.

 

Quand j'étais enfant, ma mère me disait que de me parler était comme de « pisser dans un violon ». C'est la même chose pour le satsang. D'ailleurs, si je continue à donner satsang, c'est parce que je dois le faire, il n'y a pas d'autre raison. Je n'ai pas l'ambition de convaincre qui que ce soit.

 

Les mots n'ont pas le pouvoir d'ouvrir la porte du « cœur ». Seule la Grâce peut le faire et le nombre d'incarnations. Je vois ceux chez qui le satsang a un effet, comme ils sont étonnés et comme ça les touche !

 

Pourtant, je n'ai rien dit de différent, je n'ai pas spécialement parlé pour eux et ils se sentent directement concernés. Je peux donner satsang, mais le reste, ce que ce satsang fera, je n'en suis pas responsable.

 

La Grâce

 

C'est comme vous, qui avez reçu la Révélation, qui avez les techniques de méditation et la possibilité d'observer les quatre piliers de l'agya, la sadhana de La Voie, sans la Grâce, vous ne pouvez rien.

 

La Grâce est là tout le temps. Pour aller en son sens, il faut le vouloir. La Grâce est un fleuve qui coule sans cesse, mais qui n'emporte personne de force. Vous pouvez rester sur sa berge ou vous plonger dedans, le choix vous appartient. On ne peut pas forcer quelqu'un qui n'a pas soif à boire.

 

Combien d'entre vous me sollicitent, m'écrivent ? Peu, vous êtes peu à me demander conseil. On suspecte souvent les gurus, que l'on écrit gourou, de vouloir manipuler le mental des gens, de vouloir laver leur cerveau, mais comment vous laver le cerveau, si vous ne m'écrivez pas, si vous ne me posez pas de question ?

 

Vous devriez profiter de moi, tant que je suis vivant, parce que je vais vous divulguer un secret : ça ne durera pas.

 

Je donne satsang oralement chaque semaine, ce que je dis, que j'improvise est enregistré puis est transcrit, puis édité sur le blog pour vous permettre d'observer l'agya. Je ne peux pas faire plus. J'ai retraduit certains livres saints, j'en ai réécrit d'autres, pour vous inspirer avec l'exemple des anciens, lisez-les, qu'ils puissent vous inspirer.

 

Le plus important, c'est de rester aussi souvent et longtemps que possible dans le Saint-Nom, ou au moins dans la pratique de la technique du même nom. Ne vous demandez pas comment ça marche, mais ça marche.

 

La vie n'est pas la même avec ou sans la pratique du Saint-Nom, mais ça ne suffit pas, il faut aussi lire, écouter du satsang au moins deux fois par semaine, voir trois et méditer chaque jour.

 

Le faire chaque jour

 

La méditation, c'est comme de se brosser les dents ; il faut le faire tous les jours. Quand je vivais dans un ashram, en Inde, dans les années 70, nous méditions au moins deux fois par jour, tous les jours et au moins une heure à chaque fois, ce qui faisait deux heures.

 

J'ai vécu, à mon retour en France, dans une petite maison du Berry. Je méditais dix heures par jour et je me souviens de l'état dans lequel je me trouvais. Je peux vous dire que la vie, avec la conscience de la Grâce, n'est pas la même que sans.

 

Ce n'est pas nécessaire de méditer dix heures par jour, comme je le faisais à l'époque, mais faites-le chaque jour, même une seule fois quarante-cinq minutes. Quand on médite, il peut arriver que l'on ait l'impression, qu'il ne se passe pas grand-chose, mais il faut continuer.

 

Souvent, l'effet de la méditation ne se voit pas sur le moment, mais plus tard, dans la journée ou le lendemain. L'agya, c'est quatre piliers, pas deux, pas un et les piliers vont ensembles.

 

J'ai réécrit les angas, le quatrième pilier, sous forme de versets, à la manière de la Bhagavad-Gîtâ, pour vous toucher plus, lisez-les. Vous pouvez les imprimer et les relire de temps à autre. Ménagez-vous des moments de dévotion, où vous êtes seul, tranquille.

 

Vous lisez du satsang, les angas, une traduction que j'ai faite d'un livre saint, puis vous pouvez chanter twameva et/ou Aarti, puis vous méditez, vous verrez, ça éclaire la vie d'une lumière incomparable.

 

Si ce texte vous a apporté quelque chose,

partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

 

 

Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein « bénéfice » de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com

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