Les adultes sont souvent comme ces enfants avec leurs caprices. Ils ont parfois tout pour être heureux, ils sont vivants, en bonne santé et ne manquent de rien d'essentiel, ni d'eau, ni de nourriture, ni d'un logement et pourtant, ils sont malheureux, pourquoi ?
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Les caprices
Les #enfants, de deux à quatre ans, peuvent se mettre très rapidement dans des états incroyables : devenir rouge, s'agiter et éclater en pleurs, comme s'ils souffraient, avaient une peine profonde. À les entendre, à les voir, ils sont vraiment désespérés, inconsolables ! L'instant d'après, on ne les reconnaît plus, ils sont souriants et c'est comme s'il n'était rien arrivé.
Les adultes sont souvent comme ces enfants avec leurs caprices. Ils ont parfois tout pour être #heureux, ils sont #vivants, en bonne #santé et ne manquent de rien d'essentiel, ni d'eau, ni de nourriture, ni d'un logement et pourtant, ils sont malheureux, pourquoi ?
Des gens souffrent et ont de vraies raisons d'être #malheureux, mais je ne parle pas d'eux… alors ? Je sais bien pourquoi : il leur manque la #conscience du #SaintNom, la #paixInterieure. Ce Saint-Nom est en chaque être humain et de ne pas en être conscient induit une #souffrance sans nom.
Vers l'âge de deux, trois ans, selon les individus, vous quittez la parfaite adéquation avec l'#instant et commencez à vous tourner vers l'avenir et c'est là que l'oubli du Saint-Nom commence. Quelque chose se souvient de l'âge tendre, où l'esprit ressentait encore la #Grace de l'instant. La mémoire a oublié ce temps, mais l'âme s'en souvient.
Tant que vous ne retrouvez pas cet instant, la peine continuera. Certains qui ont reçu la #Revelation des #techniques, continuent d'être troublés par la #confusion de l'#inconscience, pourtant, ils savent comment faire pour en sortir, alors ? Alors, quand on a soif, il ne suffit pas d'avoir un verre d'eau, il reste à le boire !
La machine à confusion
La machine à questions continue de tourner tant que vous serez #incarne ! Le #LibreArbitre fait que l'être-#humain a toujours le choix, à chaque instant, entre la conscience (du Saint-Nom) et l'inconscience.
Quand l'esprit est conscient du Saint-Nom, la paix-intérieure est possible. Quand l'esprit est inconscient du Saint-Nom, il est plus exposé à la souffrance de la confusion. « La souffrance, le doute et la honte sont le prix du libre-arbitre. » (#Bhaktimarga 1-3-9).
La pratique de #LaVoie n'arrête pas les vrttis (variations du #mental). Elle permet de s'en extraire, d'aller en un « endroit » où elles ne peuvent pas aller. Le #LibreArbitre fait que vous avez toujours le choix de mettre votre conscience ; « in » ou « out ».
Ce qui aide à rester dans le Saint-Nom, dans la paix et conscient de la Grâce, c'est de ne pas croire, de ne pas prêter l'oreille aux délires, aux doutes du #FauxEgo.
Le faux-ego n'est pas bien quand vous êtes en paix, alors il fait tout pour que vous en sortiez. Ne lui prêtez pas attention. Il crie ? Ne l'écoutez pas. La technique dite du « Saint-Nom » vous permet de faire ça ; de ne pas prêter attention aux délires du mental sous l'influence du faux-ego.
« Le mal a tant de noms, il est faux-ego, ahamkara, inconscience, Malin et celui-qui-sépare. » (Bhaktimàrga 147)
La souffrance n'est pas obligée
Vous n'êtes pas obligé de #souffrir, ça ne dépend que de vous. Acceptez de lâcher-prise. Allez vous asseoir un instant, fermez les yeux et pratiquez la technique du Saint-Nom. Après un temps ; qui dépendra de chacun et du moment, vous serez à l'abri et recommencerez à réaliser qu'il y a la paix à l'intérieur. Il s'agit de se recentrer.
« La méditation retire le voile aveuglant la conscience. » (Bhaktimàrga 335)
Les enfants qui jouent, sous le regard de leur #pere, de leur #mere, qui courent à travers la maison ne regardent pas vers lui, vers elle. Ils sont absorbés par leur jeu, ils n'ont pas l'air de se préoccuper d'autre chose, mais ils savent qu'il les regarde et ça les rassure. Si personne ne veillait sur eux, ils seraient #malheureux.
Les petits enfants trouvent leur énergie dans le regard de leurs parents. L'amoureux de Dieu, le dévot, trouve sa joie dans la certitude que #Dieu à son « regard » posé sur lui, tout au long de la journée. Pour peu que ce dévot, ce disciple observe l'#agya, il aura une certitude encore plus grande.
Il est facile de « sortir-de-soi », absorbé par le spectacle du monde et du boucan des hommes. Il est au moins aussi facile de revenir au #centre, quand on connaît la façon de le faire et quelle plus belle et plus simple façon que de pratiquer la technique du Saint-Nom ?
Alors, vous qui avez reçu la #Révélation, pratiquez chaque fois que vous vous apercevez que vous êtes « sorti-de-vous ». Lâchez-prise ! Cessez de vous laisser déborder par la confusion, la colère, l'énervement, la frustration, le ressentiment.
Le libre-arbitre ne vous donne pas que le droit de dire non, il vous donne aussi celui de dire oui, oui à la paix du dedans. Si vous ne quittez pas la conscience de la Grâce, par l'Observance, la Grâce ne vous quittera pas, rassurez-vous.
« Samàdhi-bhàvanàrthah klesa-tanù-karanàrthas ca. Le but de la pratique est de gommer les causes fondamentales de la souffrance et par la contemplation d'amener à l'Unité ». (#Yogasutra 2.2).
Vous êtes en vie, la Grâce de Dieu est en vous et ça ne tient qu'à vous de vous en rendre compte.
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Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein « bénéfice » de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com