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Beaucoup de gens qui n'ont pas de travail, qui exercent un métier mal payé qu'ils n'aiment pas, où ils sont humiliés, souffrent, mais ce qui les définit n'est pas ce qu'ils font dans la vie ! Redécouvrez votre vrai être profond.

Satsang de sri hans Yoganand ji sur la spiritualité, La Voie, la liberté et le confort.
Dans la vie il suffit de prioriser la spiritualité, ensuite vous êtes libre de la vivre confortablement

 

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

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L'accueil du blog

 

 

 

 

 

Ce que l'on est vraiment

 

 

 

Dans la vie d'un pratiquant, il y a deux choses à distinguer tout en les menant de front : le dharma et l'agya. S'il s'agit d'observer l'agya, de s'acquitter de ses devoirs de père, d'époux, de citoyen, d'usager de la route, de justiciable, de frère, de sœur, d'employé, etc. C'est compatible avec l'Observance, même si certaines situations sont plus ou moins favorables.

 

 

« Satisfaire tes besoins est un devoir sacré »

 

(Bhaktimàrga 1-4-17)

  

 

« Le disciple a l'agya, son respect est Dharma, le Dharma est agya »

 

Bhaktimàrga 1-5-11

 

 

Assumer ses devoirs fait partie du service. Comme de faire sa vaisselle ! D'ailleurs faire sa vaisselle peut-être un dharma si c'est pour votre famille ou votre travail. Le but de la vie n'est pas d'assumer son dharma, d'avoir un métier, de gagner sa vie. La société a oublié quel était le but de la vie. Le but de la vie n'est pas de la gagner. Si l'on vous demandait : « Quel est le but de la vie ? », diriez-vous : « De gagner sa vie » ?

 

 

 

La vie nous définit

 

 

 

Ce qui définit l'Homme, ce n'est pas sa situation sociale, ni son genre, son type, ni sa religion, son âge. Une fleur est une fleur, qu'elle soit mâle ou femelle. Un être humain est humain. Ce qui le définit, c'est la vie qui l'anime. Le but de l'existence n'est pas de gagner sa vie. Vous devez subvenir à vos besoins, mais ce n'est pas le propos de votre existence.

 

 

Pourquoi tant de gens qui n'ont pas un métier gratifiant sont-ils frustrés ? Parce que de gagner leur vie ne leur suffit pas. Le but de la vie est de vivre en conscience de cette part de Lui que Dieu a mise en nous. Le but de la vie est de rendre justice à sa Grâce, reconnaissant sa présence.

 

 

Vous lui rendez grâce en vivant ce qu'il a prévu pour vous. Ce qu'il veut, c'est que vous soyez celui qu'il a fait. Vous n'êtes pas uniquement un corps et un mental, vous êtes l'âme ! Le corps et le mental servent à exister sur le plan matériel et psychique, l'âme est faite pour le plan spirituel. 

 

 

 

Être humain

 

 

 

Être humain, c'est vivre sur ces trois plans. Certains peuples, dits natifs, comme les Indiens d'Amérique, ne considéraient comme véritablement humains que ceux qui se comportaient en humains, c'est-à-dire avec conscience. Quel était le signe de cette conscience ? Le respect dont ils faisaient preuve vis-à-vis de la mère nature. Ce qui était loin d'être le cas des hommes blancs !

 

 

 

La norme, c'est la pauvreté

 

 

 

Les gens sont considérés selon leurs moyens financiers. On vit dans des strates, empilées les unes sur les autres et ceux qui sont dans les strates du bas souffrent de pauvreté, de précarité et d'une honte qui les hante.

 

 

La religion de la consommation les invite à sa messe. Ils doivent cependant rester debout au fond de l'église, à regarder sans communier, faute de moyens. Quatre-vingt-dix neuf pour cent de l'humanité est pauvre. Les riches sont une minorité, même dans les pays riches. La norme, c'est la pauvreté.

 

 

Dieu n'aime pas plus Bill Gates que n'importe quel intouchable d'Inde. L'intouchable indien, c'est vraiment le prototype du pauvre. En France, ce sont les cas sociaux, ou « cassoss ». On les reconnaît à leurs autos, quand ils en ont. Elles ont plus de vingt ans et leurs carrosseries sont pleines de cloques de vernis. Ils mangent les raviolis en boite que les surplus européens ont refilé aux restos du cœur et il leur manque des dents. C'est comme ça qu'on les reconnaît les « cassoss », les « sans-dents ».

 

 

 

On est tous sur Terre

dans le même but

 

 

 

Qui sommes-nous pour juger ? On est tous sur Terre pour la même chose, s'unir à Lui. On est des enfants de Dieu. C'est en vivant cette parenté que l'on réussit sa vie. Ensuite, si vous voulez faire des choses comme collectionner les timbres, travailler dans un hôpital, peigner le cou de la girafe, être instituteur, avocat, vous pouvez le faire, mais ce n'est pas le but de la vie. Ne négligez pas le but de votre vie, faites qu'il ne passe pas en dernier.

 

 

 

Le but en premier

 

 

 

C'est bien de vivre dans une belle maison, de rouler dans une auto neuve, d'être habillé de vêtements plus seyants. Ce n'est pas interdit d'aller bien, mais vous n'êtes pas ici pour ça. Dans la vie soit on est bien soit on est mal. Il y a des milliers de raisons d'être mal, mais de raisons d'être vraiment bien il n'y en n'a pas beaucoup. Quand vous êtes à votre place à faire ce que vous devez faire en pleine conscience de Sa Grâce, alors vous ne pouvez pas être mieux !

 

 

Quand vous avez votre attention posée sur la paix intérieure, que Jésus nommait le Royaume et d'autres Satçitananda, vous êtes parfaitement heureux et à votre place. Si en plus vous avez une existence confortable ça ne gâte rien ! Le truc est d'être heureux en soi. Il y a apparemment des milliers de raisons d'être mal, mais en vérité la principale raison d'être mal, c'est de ne pas être conscient de l'amour que Dieu a pour vous.

 

 

 

Savoir aller au centre

 

 

 

Le meilleur moyen d'être heureux, c'est de pouvoir aller en ce centre, en vous, où règne la Grâce de Dieu. C'est ça la vie, c'est ça le bonheur. Vous avez en vous votre meilleure amie, la béatitude. Au début, quand vous venez de recevoir la Révélation  cette béatitude est petite, fragile et puis, à force de pratique, elle grandit et se renforce. Tout est affaire de pratique.

 

 

C'est comme l'eau d'une oasis : il faut se pencher pour y boire, elle ne va pas vous sauter dans la gorge. Selon que vous preniez un dé à coudre, une cuillère à soupe, un verre ou une chope d'un demi-litre pour boire, vous ne serez pas désaltéré de la même façon. Si vous avez très soif vous pratiquez beaucoup. Si vous avez peu soif, vous pratiquez peu. C'est pareil pour l'Observance, plus vous pratiquez et plus vous recevez et plus ça vous motive, c'est un cercle vertueux, une dynamique positive. C'est toujours une histoire de pratique. Il ne suffit pas d'avoir l'outil, encore faut-il s'en servir.

 

 

« Le dévot est ferme dans l'Observance par amour de la Grâce. »

 

Bhaktimàrga 2-2-15

 

 

Observez l'agya, si vous n'y arrivez pas, ne culpabilisez pas, juste recommencez, continuez. Pendant que vous culpabilisez vous ne méditez pas. Dieu ne juge personne. Il ne faut jamais s'en vouloir de ne pas y arriver, mais toujours recommencer. Je suis toujours là pour vous et vous savez comment me contacter.  Je suis à votre disposition. 

 

 

 

 

 

Ce satsang pourra vous aider dans votre recherche spirituelle, je l'espère, mais je dois préciser ceci : il a été dit à la maison où je vis, enregistré puis retranscrit à destination des initiés qui ont reçu la Révélation. Le plein ''bénéfice'' de ce satsang ne pourra être atteint que si vous avez eu cette Révélation et que vous pratiquez les quatre piliers. Pour se renseigner, demandez en écrivant ici : lavoie.eu@gmail.com

 

Sri Hans yoganand ji.

 

Tag(s) : #satsang, #être, #vérité, #âme, #yogaoriginel, #lavoie
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